This is Mariméia C. Jovaleni & Admine ♦ so fabulous o MESSAGES : 100 o ARRIVE A SAINT PAUL : 07/05/2010 o AGE PERSO : 32 o SITUATION : En couple... mais plus pour longtemps o OCCUPATION : Etudiante en archéologie o CITATION DU JOUR : Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l'âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps.
| Sujet: Mariméia Consuelo Jovaleni ADMINE Jeu 20 Mai - 16:14 | |
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Mariméia C. Jovaleni • feat Amber Heard • «Aucune grâce extérieure n'est complète Si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l'âme se répand Comme une lumière mystérieuse Sur la beauté du corps.» | JOVALENI Mariméia Consuelo Ebony Tamara"
» Age: 18 years old » Date et lieu de naissance: 6 août 1991 » Nationalité: Italienne » Situation amoureuse: Je ne reste jamais longtemps célibataire... » Appartenance: "fragiles" humains » Votre métier: Etudiante
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I am who I am
Physique & Psychique
Mon Physique: « Un charme surpuissant, une élégance envoûtante, des traits d’une beauté innommable, qui lui donnent bien facilement deux à trois ans de plus, si ce n’est au-dessus. Elle vous perdra, tout comme moi. Et bientôt, je vous accueillerai auprès de moi, compatissant, les bras grands ouverts. Vous vous perdrez dans ses yeux bleu abysse, vous vous prendrez à rêver de laisser glisser votre main dans sa soyeuse chevelure claire, douce et fine, puis sur sa poitrine trop bien dessinée pour son âge, comme un cadeau du diable, redessiner ses courbes. Vous aimeriez voir vos lèvres se lier avec les siennes, vermeilles, pulpeuses, gourmandes, brillantes, et votre langue jouer avec la sienne. Vos doigts s’emmêler, vos voix se joindre l’une à l’autre pour chanter, vos cœurs pour aimer.
Et elle danse, là, en plein milieu du salon, riant aux éclats. De fossettes se creusent au coin de ses joues rosies. Sa nuisette épouse ses formes si joliment dessinées, et sa basse extrémité se gonfle au rythme qu’elle lui impose. Sa longue et fine chevelure d’un blond magnifique lui vient au visage à chaque fois qu’elle ralentit, recouvrant ses grands yeux bleu abysse, bleu abîme, frangés d’épais cils noirs. Toute l’innocence et la malice du monde semblant y habiter, s’y côtoyer, alors qu’elles n’existent pas même pour elle. Une enfant. Elle ressemble à une enfant à l’aura puissante, au charme fou, avec ses membres si fins que l’on se demande de quelle manière ils s’y prennent pour la tenir, une enfant qu’on a envie de protéger, d’emmener loin de ce monde empli de pourritures. Tout à coup, des larmes coulent sur ses joues, perles tranchantes nous fendant le cœur, tombant sur le sol dans un silence annonçant la fin. Des rigoles de noir descendent de ses yeux cendrés, sa bouche déjà pulpeuse gonfle sous le sel, sa lèvre inférieure tremble légèrement, vous laissant totalement désemparé. L’une de ses bretelles glisse de son épaule trop ronde, et c’est l’explosion finale, celle qui vous emporte bien plus loin que ce que vous auriez pu penser. »
Mon Caractére: Mariméia est une jeune fille hantée par son amnésie. Elle ne sait qui elle était et cela ne l'aide pas à savoir qui elle est maintenant. Il en résulte donc une instabilité de son caractère. Complètement désorientée, il lui arrive de retrouver ses "anciennes habitudes" dont elle ne sait rien et qu'elle ne sait même pas déchiffrer ou expliquer. D'autres choses lui reviennent en tête, mais elle ne sait pourquoi ou comment. Par exemple, quand quelqu'un dit "infidélité", le seul mot qui lui vient en tête est le mot "tuer". Pourquoi, elle n'en sait rien et met tout en oeuvre pour le découvrir, pour découvrir ses origines. Il est donc normal que Mariméia puisse vous sembler bizarre ou illogique... En dehors de ses souvenirs codés du passé, Mariméia est une jeune fille à peu près comme les autres, qui a ses valeurs et ses désirs. Elle est assez sociale et travailleuse. Elle adore la compagnie de ses pairs et ne laisserai jamais tomber ses amis. Elle est souriante et prête à l'aventure. Par contre, elle accorde un peu trop rapidement sa confiance aux autres et cela la met parfois en danger quand ces personnes, qui ne méritent pas sa confiance mais qu'ils ont tout de même, décide de lui faire une farce. Cependant, ce petit défaut est en phase de changer. Encore un autre défaut est son obstination à déterminer son passé. C'est un peu son but dans sa vie, alors qu'elle pourrait faire tant d'autres choses.
My story
» Mon Histoire:"Je suis née le 17 janvier 1991. Si vous êtes doués en math, vous apprendrez que j'ai 13 ans. J'ai un frère qui a trois ans de plus que moi. Et il s'amuse toujours à me le rappeler. Lui, c'est plutôt genre "C'est moi l'aîné, c'est moi qui dirige. Toi, tu n'as pas la mâturité nécéssaire !". Depuis toute petite, à chaque fois qu'il me sort ça, j'ai envie de l'étriper, de le reclaper. Avant, je ne le faisais jamais ; j'étais bien trop timide pour ça. Mais maintenant, c'est une autre histoire ! Je vous expliquerais ça plus tard. Vous l'aurez compris, mon enfance n'a rien d'exceptionnel. J'ai donc grandi entourée d'un frère super emmerdeur, d'une mère poule à un point inexplicable et d'un père toujours absent à cause de son travail. Eh oui, Monsieur était chef d'entreprise et il partait toujours je-ne-sais-où pour signer tel ou tel contrat avec une entreprise lointaine. Et nous, sa famille, nous passions après son travail, bien sûr. Mais son jeu n'a pas duré très longtemps. Quelques années après ma naissance (je devais quand même avoir 9 ou 10 ans), ma mère fit nos valises et quitta la maison avec nous, alors que mon père était en "voyage". Elle nous expliqua qu'en fait, la secrétaire de mon père, qui l'accompagnait toujours lors de ses voyages, était en réalité sa maîtresse. Ma mère en a eu marre et elle s'est carrément barrée de la maison. Depuis, fini le papa ! Je ne l'ai plus jamais revu. Puis, ma vie a recommencé, pépère. A l'école, j'étais une vraie intellote. Toujours des bons points, toujours LE bon comportement à avoir. Mon frère me traitait de Sainte Nitouche, je n'en avais rien à foutre. Malgré tout, au fond de moi, j'en avait marre de ce comportement de fi-fille à sa maman sage et qui ne fait pas un pas de travers. Puis un jour, tout à basculé. J'avais 14 ans. Ce jour-là, ma mère nous avait conduit à l'école, comme d'habitude. A la récréation aussi, Philippe s'était battu avec le crétin qu'il détestait. Pourquoi il le détestait ? Je n'en sais rien. Certainement à cause des coups vaches qu'ils se faisaient depuis qu'ils étaient entré au collège. Une baguarre de plus, une retenue de plus ! Et vous connaissez le plus ironique dans cette histoire ? C'est que j'avais flashé sur Bastien Woodfly depuis que j'étais, à mon tour, rentrée au collège (le même que celui de mon frère, bien entendu !). Ah oui, j'ai oublié de vous le préciser. Bastien Woodfly, c'est celui avec qui Philippe se bat tout le temps. Autant dire que ça le faisait royalement chier, que je veuille sortir avec Bastien ! Enfin, je m'éloigne du sujet, là ! Hum, hum... Donc, j'avais 15 ans et c'était certainement le troisième ou le quatrième jour le plus froid émotionnellement de ma vie... les examens allaient commencer dans 1 semaine. J'étais déjà prête car j'avais déjà étudier toute la matière. Pendant l'avant-midi, tout se passa comme d'habitude. Puis, vers 14h30, on est venu nous chercher, Phil et moi et on nous a amené dans le bureau des éduc'. Ma première pensée a été "Mais j'ai rien fait ! C'est pas moi la fouteuse de merde, ici, c'est mon frère !". On nous a dit de nous asseoir et on nous a annoncé la terrible nouvelle. Je n'ai entendu que la première phrase. "Votre mère a fait un accident de voiture. Elle a été tuée sur le coup." Puis le choc avait été si grand que je n'avais entendu que quelques bribes des explications données. "Collision... Autre femme... Blessée légèrement..." Que d'horreurs pour moi, encore si fragile à cette époque ! Et puis, je me suis reconnectée à la discussion. J'ai donc appris que l'autre conductrice, seulement légèrement blessée, était en fait la secrétaire de mon père. Je ne vous raconte pas la colère, qui s'est un peu apaisée pour le moment. Je vais vous expliquer pourquoi... A partir de ce jour-là, je ne fus plus jamais comme avant. Mon caractère commença à changer et je devins comme je suis maintenant. Avec mon frère, on était tous les deux en colère à cause du fait que l'autre pétasse s'en était sortie. Phil et moi, on a alors décidé de la tuer, tout comme elle avait tué notre mère. Elle était tout ce qu'il nous restait. Et puis, même si notre père savait que c'était sa putain de nouvelle femme qui avait tué son ancienne femme trompée, il n'aurait jamais demandé pour nous récupérer. Donc pour nous, ce n'était plus notre père. On a mis une demi année pour trouver comment ne pas se faire prendre par la police. Finalement, la solution était simple : quitter le pays le soir même du meurtre. Solution que nous n'aurions jamais dû prendre. Ah oui, j'ai encore failli oublier ! Pendant ces 6 mois, il s'est aussi passé des choses. J'ai commencé par sortir avec Bastien, au grand malheur de Phil ! Il nous a aidé dans notre projet, ainsi que Jérôme, le meilleur ami de Phil et Joey, le petit frère de Bastien. Ma meilleure amie, Séléna, nous a aussi bien aidée. Et finalement, le soir de la veille de l'embarquement, on s'est introduit chez notre père et on a étranglé sa nouvelle femme. Personne ne nous a vu, personne ne nous a entendu. Puis, le matin, on a embarqué sur le Camilla II accompagnés de Jérôme, Bastien, Joey et Séléna. Ce bateau allait vers la Chine, où nous devions tous recommencer une nouvelle vie, mais il fait naufrage quand nous arrivions tout près de l'Italie. C'est comme ça que j'ai perdu ma mémoire. J'ai encore marché jusqu'à m'évanouir dans une fôret"
De cela, Mariméia ne s'en souvient pas. Cette période de sa vie s'est effacée et les souvenirs de ses amis, si chers à ses yeux, aussi. Adoptée par la famille Jovaleni à 14 ans (et quelques mois qu'elle ne savait pas qu'elle avait), elle se fit rapidement une place parmis eux. Famille juridique importante d'Italie, les Jovaleni reçurent une menace de la mafia italienne et ils décidèrent de s'exiler aux USA. De peur que quelqu'un ne devinne son secret, celui d'être amnésique, elle ment à tout le monde. Et pourtant, Mariméia est retournée dans son pays d'origine, les USA, où ses amis ont été emprisonné durant 3 ans dans un centre pénitencier pour jeunes délinquants. Heureusement pour elle, ces derniers ne l'ont pas dénoncée et ont affirmé qu'ils étaient seuls pour ce meutre. Retrouvera-t-elle la mémoire si elle les revoyait ? Quelle serait sa réaction ? Behind the Computer
» Ton pseudo: Mimouzz'ell ou Hypnotic' Song » Ton age: Seventeen, darling » Comment tu es arrivé ici: Oh je sais pas... Une annonce pour être admin, I think' » Pourquoi cet avatar: Parce que j'aaiimmee Amber Heard (no love), elle est juste trop magnifique sur les avatars » Quelque chose a dire: No' » Le code: ... » Fréquence de connexion: 6-7/7 » Exemple de RP: Allez, le dernier en date ^^... - Spoiler:
Quand je pris la main de Neal, je l'observai en même temps. Sourcils froncés. Mâchoire serrée. J'avais l'impression que ses yeux me jettaient des éclairs. Bon, d'accord, j'avais peut-être été un peu loin... Mais il était tellement irrésistile, tellement craquant, tellement...trop âgé ! Il fallait que j'arrête de le voir, de le fréquenter. Il n'était pas bon pour mon esprit ! A chaque fois que je le voyais, j'avais des frissons, je ressentais ses mains sur mon corps, ses lèvres dans mon cou, son odeur m'envahissait. De l'amour ? Certainement pas ! Cela devait être de l'attirance... Juste de l'attirance. Mais comment faisait-il pour en dégager autant ? Non, Ebony, on a dit STOP ! C'est bien ce que je disais. Je n'avais plus toute ma tête quand Neal est dans un rayon de moins de 5 mètres autour de moi. Il avait vraiment une mauvaise influence sur moi...du moins mentalement ! J'étais tellement différente que celle que je suis normalement. Et pourtant, je me reconnaissais, comme si j'avais déjà été comme ça. Serait-ce ainsi que j'étais avant de perdre la mémoire ? Parce que si c'était le cas, j'avais été vachement dévergondée, avant mes 10 ans ! Rapidement, Neal me sortit de mes pensées.
NEAL | Ne t'inquiète pas, petite fille. Je sentis également une main dans mes cheveux. Neal, bien sûr. Il me regardait en souriant. Que ne ferait-on pas pour son sourire? Il était tellement beau quand il souriait. Je lui rendit son sourire, mais ce dernier s'effaça assez vite de mon visage. L'expression "petite fille" me revint en tête. Cela me blessa et je le lui murmurai de façon que je pensais inaudible :
EBONY| Je te remercie pour le "petite fille" de fin de phrase, mais j'aurais préféré que tu t'en abstiennes... Pendant que je murmurai, pardon... Pendant que je grommelai cela, j'eus droit à un léger baiser sur le front. D'un ceraine façon, on aurait pu qualifier ce léger baiser de baiser paternel, mais moi (ne me prenez pas pour une folle, je vous ai déjà raconté mon état second), je ne sentis que deux lèvres douces se posant sur mon front. Et (vous allez me croire malade de tomber une nouvelle fois dans le piège), je trouvai ce baiser sensuel et à mon goût. A ce moment, je n'eut qu'une seule envie : l'embrasser. Mais (Merlin, merci), je me retins. La suite aurait été trop prévisible (et ne m'aurait pas déplu), mais il fallait que je sois à 20 heures chez moi pour que ce fichu portoloin me ramène à l'école.
NEAL| Tu ne vas pas rester debout. Le temps que je revienne enfin sur terre, Neal était parti se vautrer dans son canapé. Quand je le remarquai, je m'avançai également et m'assis. Je remarquai le changement de poste. Incontrôlablement, mes yeux dérivèrent vers ses abdominaux, visibles au travers de ce T-shirt si fin. Cela en était presque indécent.
NEAL| Bony... Pourquoi t'es ici? Qu'est -ce que tu veux ? Sa voix me fit, une nouvelle fois, revenir à la réalité. Par Merlin, j'espère qu'il n'a pas vu vers quel point mes yeux convergeaient !
EBONY| Va savoir... Tu vas peut-être me prendre pour une folle, mais ce sont mes pas qui m'ont guidée jusque chez toi, alors que je pensais à autre chose. J'ai voulu venir te dire bonjour... Je lui fit alors un grand sourire. S'il souhaitait me croire, tant mieux pour lui. S'il le refusait, dans ce cas, ce n'était pas mon problème. J'avais été honnête... Même si lui ne l'avait pas été. En effet, son bras était recouvert d'un bandage et ce dernier était imprégné de son sang. Ne pas s'inquiéter ? Mon oeil, oui ! Je bus une gorgée de jus d'orange.
EBONY| Et sinon, à part de blesser, tu as fait quoi ces derniers temps ?
Question stupide... Mais tellement passe-partout quand on ne sait pas quoi dire. Et puis, cela me permettrait peut-être d'en savoir un peu plus sur cette blessure. D'accord, je l'avoue, ce fait me perturbait un peu, même si j'essayais de ne pas y penser. Sans le vouloir, je me collai un peu plus à Neal. Je n'avais envie que de me lover dans ses bras. Stupide subconscient ! S'il y avait bien une chose que je ne supportait, c'était de perdre le contrôle de mon corps...et, accessoirement, de mes pensées. Et pourtant, c'était qui se passait en ce moment-même...
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